Un embargo nous empêche de publier la version longue de notre critique de Vivarium jusqu’à une date encore indéterminée, mais nous pouvons tout de même partager nos impressions via cette courte capsule.
Deux amoureux qui visitent une maison reviennent toujours au point de départ en tentant de quitter les lieux dans cette fable surréaliste qui jette un regard sombre sur la vie en banlieue et le couple traditionnel. La mise en scène impressionne avec ses décors minimalistes et étranges, qui compte sur la répétition et l’uniformité pour servir le scénario au couches multiples. L’action résolument lente accentue l’exaspération vécue par les prisonniers de l’énigme, dont la clé nous sera révélée en partie lors d’une scène coup de poing aux effets spéciaux saisissants. L’union de Jesse Eisenberg et Imogen Poots fonctionne très bien à l’écran, mais c’est cette dernière qui vole la vedette avec une performance qui reste en tête.
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