L’univers jeunesse de Les Enfants Perdus est de retour cet hiver avec La revanche du mal, qui se rend cette fois au camp de vacances pour une bonne dose de terreur.
La troisième saison de la websérie et le troisième tome de l’adaptation en série de romans au cœur de la célèbre collection Frissons publiée chez Héritage Jeunesse sont maintenant disponibles, respectivement sur la chaîne Youtube officielle de Les Enfants Perdus et partout en magasin.
Le camp Bucklake a ouvert enfin ses portes un an après l’écrasement de la comète. Louis y a été engagé comme moniteur. Sa bande de jeunes s’est installée dans leur famille élargie respective. Ils croyaient tous avoir gagné la guerre contre le mal, mais ce n’était qu’une simple bataille. La force maléfique se réveille de nouveau en cette fin d’été caniculaire. D’autres enfants seront perdus.
L’auteur et réalisateur Luca Jalbert, qui a été nommé ambassadeur officiel de la collection Frissons en septembre dernier, se fait plaisir avec cette troisième aventure. Il rend ici hommage par de multiples clins-d’oeil au cinéma d’horreur de camps de vacances des années 80. De Sleepaway Camp à The Burning en passant par l’incontournable Friday the 13th, tout en lorgnant avec l’ambiance à la Carpenter et à la King.
Avec sa websérie et sa série de romans, l’auteur souhaite ainsi initier la jeunesse aux classiques du genre qui l’ont forgé. Chaque saison et chaque tome est une occasion pour lui, d’exploiter et de s’amuser avec un genre, ses codes et ses thèmes.
Une troisième aventure qui voit grandir, évoluer et développer un peu plus ses jeunes personnages. «Cette grande aventure je la vois comme une sorte de road movie horrifique à la manière de Phantasm de Don Coscarelli, avec comme grand fil conducteur l’amitié à la Stand by Me! Un voyage évolutif d’une bande de gamins qui affronte ses peurs et les dangers pour grandir tout en comptant les uns sur les autres!» explique Luca Jalbert.
Comme il le mentionne souvent: «Tourner avec ma bande de gamins chaque été, ce n’est pas un travail, mais un vrai camp de vacances!»
Ça n’aura jamais été aussi vrai avec cette histoire.
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