Clay Riddell (John Cusack, 1408) revient d’un voyage d’affaire. Aussitôt descendu de l’avion, il appelle son fils et son ex-femme. La batterie de son téléphone se vide complètement. Quelle chance, car au même moment, un virus, qui se transmet par le réseau cellulaire, transforme les gens en zombies enragés. Riddell est prêt à tout faire pour retrouver sa famille.
Basé sur le roman du même nom de Stephen King, le film de Tod Williams (Paranormal Activity 2) commence en force avec l’évasion du héros de l’aéroport. Les attaques des zombies sont brutales et la scène ne manque pas d’action. On aurait aimé que Williams garde le rythme et l’intensité plus longtemps.
Le protagoniste fait alors la rencontre d’individus (Samuel L. Jackson, Pulp Fiction, Django Unchained) qui l’accompagneront tout le long de sa quête. La dynamique qui s’installe entre eux est intéressante, mais aurait eu avantage à être plus développée. Le scénario, archi-conventionnel, tente néanmoins quelque chose de différent dans l’univers du film de zombie: la méthode dont ces «infectés» communiquent entre eux. La finale laisse toutefois perplexe et déçoit grandement.
Malgré ses nombreux défauts, Cell réussit tout de même à divertir. Peut-être piquera-t-il assez votre curiosité pour vous donner envie de prendre le livre…
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