Un embargo nous empêche de publier la version longue de notre critique de Come to Daddy jusqu’à une date encore indéterminée, mais nous pouvons tout de même partager nos impressions via cette courte capsule.
Un jeune homme (le très versatile Elijah Wood) voyage jusqu’à la maison isolée de son père pour tenter de reconnecter dans ce premier long-métrage du producteur Ant Timpson (Turbo Kid), qui impressionne par sa maîtrise des codes du cinéma de genre. Avec le récit qui traite d’une relation père-fils tortueuse, le cinéaste réussit à doser humour et thriller de manière excessivement efficace. Si quelques gags s’avèrent prévisibles, les dialogues savoureux sont livrés par une distribution dédiée, qui s’amuse visiblement. Le scénario propose à l’inverse des rebondissements et détours surprenants, qui ne laissent aucun temps mort. Dommage que cette montée dans l’action et les effets gores se dégonflent quelque peu lors du dernier acte, mais quand on en redemande, c’est plutôt bon signe.
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